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Graeme Allwright - Текст песни L'Étranger
(Leonard Cohen) adaptation française Graeme Allwright
Tous les hommes que tu as connus
Te disaient qu'ils ne voulaient plus
Donner les cartes pris comme dans un piège.
C'est dur de retenir la main d'un homme qui cherche plus loin
Qui veut atteindre le ciel pour se livrer
Et qui veut atteindre le ciel pour se livrer.
Puis ramassant les cartes qui sont restées là, sur la table
Tu sais qu'il t'a laissé très peu, pas même son rire
Comme tous les joueurs, il cherchait la carte qui est si délirante
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre.
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre.
Un jour, penchée à ta fenêtre, il te dira qu'il veut renaître
Au monde que ta tendresse lui cache
Et sortant de son portefeuille un vieil horaire de train, il dit
"Je t'avais prévenue ! Je suis étranger !
Je t'avais prévenue ! Je suis étranger !"
Maintenant, un autre étranger
Semble vouloir que tu ignores ses rêves
Comme s'ils étaient le fardeau de quelqu'un d'autre.
Tu as vu cet homme, déjà, donner les cartes avec son bras en or
Mais maintenant, tu vois, sa main est figée.
Oui ! Maintenant, tu vois, sa main est figée.
Mais tu n'aimes pas regarder un autre homme fatigué
Déposer toutes ses cartes comme une défaite.
Tandis qu'il rêve jusqu'au sommeil
Dans l'ombre, tu vois, comme une fumée
Une route qui monte derrière sa tête.Graeme Allwright - L'Étranger - http://ru.motolyrics.com/graeme-allwright/letranger-lyrics.html
Une route qui monte derrière sa tête.
Tu lui dis d'entrer et de s'asseoir et en te retournant, tu vois
Que la porte de ta chambre reste ouverte.
Et quand tu prends sa main, il dit "N'aie pas peur, ma tendre amie
Ce n'est plus moi, oh mon amour, l'étranger !
Ce n'est plus moi, oh mon amour, l'étranger !"
J'ai attendu, toujours certain de te revoir entre les trains.
Bientôt, il va falloir en prendre un autre.
Oh ! Je n'ai jamais eu, tu sais
Pas le moindre plan secret, ni personne pour me conduire
Et tu te demandes ce qu'il cherche à dire.
Oui ! Tu te demandes ce qu'il veut dire.
En bas, au bord du fleuve, demain, je t'attendrai si tu veux bien
Là tout près du pont qu'ils construisent
Puis quitte le quai pour un wagon-lit, tu sais qu'il cherche un autre abri
Qu'il n'avait jamais été un étranger.
Qu'il n'avait jamais été un étranger.
Et tu dis "D'accord, le pont ou bien ailleurs, je viendrai".
Puis ramassant les cartes qui sont restées là sur la table
Tu sais qu'il t'a laissé très peu, pas même son rire.
Comme tous les joueurs, il cherchait la carte qui est si délirante
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre.
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre.
Un jour, penchée à ta fenêtre, il te dira qu'il veut renaître
Au monde que ta tendresse lui cache
Et sortant de son portefeuille un vieil horaire de train, il dit
"Je t'avais prévenue ! Je suis étranger !
Je t'avais prévenue ! Je suis étranger !"