Текст песни Chanteur, Menteur

(Didier Barbelivien/François Valéry)

Hier soir, j'ai rêvé que j'étais très vieux
Que je parlais à mes petits-enfants
Que je racontais ma vie de chanteur
Sans leur dire que c'était une vie de patachon.
Hier soir, j'ai rêvé que j'étais très vieux
Assis dans le rocking-chair du salon.
J'avais des cheveux blancs, un air très sérieux
Je leur donnais des conseils en oubliant

J'avais une super bagnole pour frimer. (Chanteur, menteur)
J'avais un secrétaire qui conduisait. (Chanteur, menteur)
Que je vivais comme un roi, que les filles étaient folles
Quand je faisais le coup du chanteur désespéré. (Houlala)
Que je roulais comme un dingue sur l'autoroute. (Chanteur, menteur)
Que j'avais les impôts à mes trousses. (Chanteur, menteur)
Que je laissais leur grand-mère pour allez faire mes galas
Dans des patelins pas toujours civilisé (Houlala)
Que je vivais à l'hôtel toute l'année. (Chanteur, menteur)
Que j'avais toujours sept ou huit fiancées. (Chanteur, menteur)François Valéry - Chanteur, Menteur - http://ru.motolyrics.com/francois-valery/chanteur-menteur-lyrics.html
Dans toutes les boîtes à la mode, je m'éclatais au rock'n'roll
Le disco ne m'empêchait pas d'exister. (Houlala)

Que je me suis délatté pendant dix ans (Chanteur, menteur)
Le prince d'amour a bientôt quatre-vingt ans. (Chanteur, menteur)
Un jour, j'ai connu Maryse, ça s'est fini à l'église
Mais ce temps-là, c'était vraiment le bon temps

J'avais une super bagnole pour frimer. (Chanteur, menteur)
J'avais un secrétaire qui conduisait. (Chanteur, menteur)
Que je vivais comme un roi, que les filles étaient folles
Quand je faisais le coup du chanteur désespéré. (Houlala)
Que je roulais comme un dingue sur l'autoroute. (Chanteur, menteur)
Que j'avais les impôts à mes trousses. (Chanteur, menteur)
Que je laissais leur grand-mère pour allez faire mes galas
Dans des patelins pas toujours civilisé (Houlala)
Que je vivais à l'hôtel toute l'année. (Chanteur, menteur)
Que j'avais toujours sept ou huit fiancées. (Chanteur, menteur)
Dans toutes les boîtes à la mode, je m'éclatais au rock'n'roll
Le disco ne m'empêchait pas d'exister. (Houlala)