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Bandabardo - Текст песни Macrame Les Doigts
C'était un garçon bien élevé, issu d'une famille de skinhead
Mais il avait bien mal tourné au grand désespoir de son père
Il avait jeté sa matraque, vendu ses Docs et puis son cran
Et même ses superbes nunchacks qu'il avait eu pour ses 15 ans
Skinhead aux cheveux longs
C'est l'émancipation
Sous son cuir chevelu
La tendresse a vaincu
Son bomber a poussé
Ses tatouages aussi
Les fleurs ont remplacé
Le serpent et l'épée
Il était parti au Népal ou les skins ne sont pas légion
Avec son tatouage "Mort aux vaches", les indiens l'ont pris pour un con
Il est revenu au grand air en plein Ardèche il prend son pied
Avec le seul truc qu'il sache faire ; des croix gammées en macramé
Skinhead aux cheveux longs
C'est l'émancipation
Sous son cuir chevelu
La tendresse a vaincu
Son bomber a pousse
Ses tatouages aussi
Les fleurs ont remplace
Le serpent et l'épéeBandabardo - Macrame Les Doigts - http://ru.motolyrics.com/bandabardo/macrame-les-doigts-lyrics.html
Le drapeau tricolore qu'il avait dans sa chambre
A perdu d'son éclat à grands coups d'eau d'Javel
Il fait pleurer sa mère et ne veut plus entendre
Que du Ravi-Shankar ou du Alan Stivell
Era un ragazzo ben educato, rampollo di una famiglia di skinheads.
Ma presto, prese una brutta strada, per la grande disperazione di suo padre:
ha gettato il suo manganello, venduto le sue Docmartins,
il suo coraggio e perfino le sue superbe mazze giapponesi
che aveva ricevuto per i suoi quindici anni!
Skinhead con i capelli lunghi... è l'emancipazione!
sotto il suo cuoio capelluto, la tenerezza ha vinto,
il bomber è fiorito e anche i suoi tatuaggi:
i fiori hanno rimpiazzato il serpente e la spada!!!!
È partito per il Nepal dove gli skins non sono legioni
e col suo tatuaggio "morte agli sbirri"
gli indiani l'hanno preso per un coglione.
È tornato all'aria aperta fermandosi in Ardèche,
con l'unica cosa che sa fare: croci uncinate all' uncinetto!!
Skinhead con i capelli lunghi...
la bandiera tricolore che pendeva in camera sua
ha perso il suo smalto a gran colpi di varechina...
fa piangere sua madre e non vuol più ascoltare
che del Ravi Shankar o del Alan Stivell