Anna German - Opyat' plyvut kuda-to korabli
Кораблям не спится в порту,
Им снятся моря, им снятся ветра,
И как человек тоскует корабль,
И гудят гудки, пора пора. Опять стою на краешке земли,
Опять плывут куда-то корабли,
Опять несёт по свету лесовоз
Дурман тайги и белый смех берёз. А в тайге стоит тишина,
Лишь эхо в тайге подобно ветрам,
Тайга велика и так зелена
Как твои глаза по вечерам. Опять стою на краешке земли,Anna German - Opyat' plyvut kuda-to korabli - http://ru.motolyrics.com/anna-german/opyat-plyvut-kuda-to-korabli-lyrics-french-translation.html
Опять плывут куда-то корабли,
Опять несёт по свету лесовоз
Дурман тайги и белый смех берёз. Я хочу присниться тебе
Далёкой землёй, зелёной тайгой,
И как наяву склониться к тебе,
Чтобы ты притронулся рукой. Опять стою на краешке земли,
Опять плывут куда-то корабли,
Опять несёт по свету лесовоз
Дурман тайги и белый смех берёз.
Anna German - Les navires prennent à nouveau la mer (Французский перевод)
Les navires ne peuvent pas dormir au port,
Ils rêvent des mers, ils rêvent des vents,
Et le navire se languit, comme un être humain,
La sirène retentit, c'est l'heure.
Je me tiens à nouveau au bord de la terre,
Les navires prennent à nouveau la mer,
Le transporteur de bois emporte à nouveau, de par le monde,
L'opium de la taïga et le rire blanc des bouleaux.
Et dans la taïga règne le silence,
Seul l'écho dans la taïga est semblable aux vents,
La taïga est si grande et si verte
Comme tes yeux, le soir.
Je me tiens à nouveau au bord de la terre,Anna German - Opyat' plyvut kuda-to korabli - http://ru.motolyrics.com/anna-german/opyat-plyvut-kuda-to-korabli-lyrics-french-translation.html
Les navires prennent à nouveau la mer,
Le transporteur de bois emporte à nouveau, de par le monde,
L'opium de la taïga et le rire blanc des bouleaux.
Je veux que tu me voies en rêve
Comme la terre lointaine, comme la taïga verte,
Et, comme dans la réalité, m'incliner devant toi
Pour que tu m'effleures de la main.
Je me tiens à nouveau au bord de la terre,
Les navires prennent à nouveau la mer,
Le transporteur de bois emporte à nouveau, de par le monde,
L'opium de la taïga et le rire blanc des bouleaux.