- Голоса:
- Смотри также:
Le Festival Robles - Текст песни La Tribu Des Rastas
Quand je souffle on se voit à peine, y'a carrément plus d'oxygène
J'me roule un'dernière tranche d'Edam et pis j'ai plus les yeux qui tiennent
Hakik, le fils du vieux Chichon est venu me chercher
Mais comme il était fin détruit, il a du mal à me trouver
C'est lui qu'à la recette et pis les 6 boulettes,
C'est lui qui taille les feuilles y sait même pu ou les mett'
On roule au parmesan, au gingembre, au gruyère
Aux épinards si on a rien, c'est bon pass qu'y a du fer
Toute la tribu s'est réunie dans la piaule à Samir,
Mais comme il a paumé les clefs y a plus moyen de sortir
Et y a son frère couché par terre dans un état de Zen
Qui voit des nains qui poussent petits tout rouges avec des ailes
Dans tout l'étage j'entends son vieux qui braille
On y a tiré le papier water c'est pour rouler la paille
C'est bien la première fois qu'on voit son père hurler comme ça
Il est vraiment pas digne de la tribu des rastas
Dans la vallée des rastas; dans la vallée oh oh
On voit pousser des bigorneaux
Dans la vallée des rastas; dans la vallée oh oh
La brume ne vient pas d'en haut
Après quelques émanations torrides on était cuit
On a même vu quelques lapins se taper un parapluie
Putain c'était terrible, on voyait que des ombres
Et pis les lapins qui revenaient toujours en surnombre
Mes frères grimpaient l'un après l'autre au-dessus de l'armoire
Pour bien arroser la moquette à grands coups d'arrosoir
On a jamais rien fait pousser ce n'était pas la peine
Dans la cuisine on a trouvé un sachet de verveine
Le Festival Robles - La Tribu Des Rastas - http://ru.motolyrics.com/le-festival-robles/la-tribu-des-rastas-lyrics.html
J'entends des sirènes, j'ai mangé mon peigne
T'as les cheveux qui saignent, t'as les bras qui traînent
J'entendais des sirènes, pis maintenant j'les entends plus
Faut que t'arrêtes la verveine, c'est ça qui t'fout des hallus
L'hallu a continué comme ça jusqu'au soleil couchant
Et pis toute cette fumée qui s'échappait en s'échappant
Il faudrait qu'j'ouvre la f'nêtre, on va quand même pas crever là
Ce s'rait vraiment pas digne de la tribu des rastas
Dans la vallée des rastas; dans la vallée oh oh
On voit pousser des bigorneaux
Dans la vallée des rastas; dans la vallée oh oh
La brume ne vient pas d'en haut
A la fin de la journée un mec a défoncé la porte
On a voulu la sauver c'était trop tard elle était morte
Des gars ont débarqué avec leurs jolis casques en fer
Et pis de gros tuyaux des rouges des bleus des jaunes des verts
Ils s'arrosaient par terre je ne comprenais pas
Vu qu'on avait essayé hier et pis ça marchait pas
Quand j'ai mieux vu les gars là autour de moi
J'ai tout compris qu'y étaient là, voilà pourquoi
La fumée qui s'est échappée a déclenché l'alarme
On était d'jà bien déjantés, ça f'sait un vrai vacarme
J'étais fini je voyais la marée monter
Y'a plus d'espoir, c'est sur on va crever noyés
Mais heureusement d'un coup ils ont arrêté leurs fontaines
On a roulé leurs tuyaux pendant qu'ils coupaient leurs sirènes
Ils nous ont même offert leurs haches comme on n'en avait pas
Ils sont devenus dignes de la tribu des rastas