Sandro - Dos solitarios
Un piano, un acordeón y un contrabajo
y ganas de sentarnos a charlar...
El clima es ideal, pues por lo bajo,
podremos nuestra historia comentar... Dos solitarios que en este mundo,
cansados de la búsqueda de amar,
detienen un instante, confiesan su amargura
y buscan esquivar la realidad... Dos solitarios somos mi amiga,
no creas encontrar en mí el amor,
refugia tu desdicha y cuéntame tus penas,
ahoga en esta noche tu dolor... Ven, la magia ya comienza,
ven, vivamos la ilusión,
ay ven, la noche nos acerca...
¿Ves? se duerme ya el dolor. Ven, la noche tiene prisa...Sandro - Dos solitarios - http://ru.motolyrics.com/sandro/dos-solitarios-lyrics-french-translation.html
¿Ves? el mundo es de los dos.
Ay ven, intenta una sonrisa,
ven, pensemos que es amor... Ven, la magia ya comienza,
ay ven, vivamos la ilusión,
ven, la noche nos acerca...
¿Ves? se duerme ya el dolor. Se apagan ya las luces y colores,
la orquesta se ha marchado del lugar,
despiertan otra vez viejos dolores,
el mundo ya otra vez se echó a rodar... Eh, la magia terminó,
eh, vamos mi amiga,
la noche ya murió... Adiós mi amiga,
adiós...
Sandro - Deux (âmes) solitaires (Французский перевод)
Un piano, un accordéon et une contrebasse
et l'envie de nous asseoir pour parler...
Le climat est idéal car tout bas
nous pourrons commenter notre histoire...
Deux (âmes) solitaires qui en ce monde,
fatiguées de leur quête d'amour
s'arrêtent un instant, confient leur amertume
et cherchent à esquiver la réalité...
Nous sommes chère amie deux (âmes) solitaires,
ne croie pas trouver en moi l'amour,
abrite ta disgrâce en me racontant tes peines
noie en cette nuit ta douleur...
Viens déjà la magie opère (commence),
viens vivons dans l'illusion
ay viens, la nuit nous rapproche...
Tu vois, ta douleur s'endort.
Viens, la nuit est pressée...Sandro - Dos solitarios - http://ru.motolyrics.com/sandro/dos-solitarios-lyrics-french-translation.html
Viens le monde nous appartient.
Ay viens, esquisse un sourire
Viens, pensons que c'est de l'amour...
Viens déjà la magie opère (commence)
ay viens vivons dans l'illusion
viens la nuit nous rapproche
Tu vois, ta douleur s'endort.
Déjà s'éteignent les lumières et les couleurs se ternissent
l'orchestre a pris congé (a quitté les lieux)
se ravivent d'autres couleurs ternes
le monde, de nouveau, a périclité...
Eh la magie n'est plus
eh, partons chère (mon) amie
la nuit est morte...
Adieu chère (mon) amie,
adieu...