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Akroma - Текст песни L'avarice
Aucun sentiment, aucun regret,
L'appel de l'argent, l'appât du gain était plus fort que tout
Être de plus en plus rentable était la seule phrase
Qui rythmait mon existence
Le côté pécuniaire primait sur la moralité de ce métier
Si difficile et si oppressant
D'avoir sur le sort de ces déséquilibrés les félicitations
Des familles de certaines victimes pour avoir
Condamné leur bourreau Nombre d'affaires à plaider,
Nombre de meurtriers défendus, de fous,
De monstres envoyés sur la chaise électrique
Ou s'endormir à jamais dans cette chambre aux vapeurs morbides De l'argent, de l'argent, de plus en plus -
Des remords, de moins en moins.
Je me faisait un plaisir de faire languir les affaires
Afin d'arriver à soutirer le plus de biens possible à mes clients
Ruinant parfois des mois de leur vie,
Endeuillés par l'angoisse du jugement -
Le verdict tant attendu.
De cour de cassation en appel,
Tout était bon pour satisfaire ma soif d'acquérir
Bien souvent je me dégouttais, je me sentais comme un voleur Dérobant les biens d'autrui avec une excitation
Incontrôlée proche de la folie
Pourquoi, pourquoi j'étais rongé par le vice ? Dévoré par le plaisir de posséder,
Avec la conviction d'être normal
Désormais, le peu de conscience qu'il me restait
Me servait à jouir de cette situation controverséeAkroma - L'avarice - http://ru.motolyrics.com/akroma/lavarice-lyrics.html
Pourtant, dans le regard de mes semblables je voyais bien le Changement d'attitude vis à vis de mon comportement -
Ils avaient tous compris le mal qui m'aveuglait. Nombre d'affaires à plaider,
Nombre de meurtriers défendus, de fous,
De monstres envoyés sur la chaise électrique
Ou s'endormir à jamais dans cette chambre aux vapeurs morbides Avide
, regarde-toi
Perfide
, tu n'es plus toi
Cupide
, l'argent fait loi
Aride
, ton coeur est froid
Stupide
, tu te perdras
Rapide
, ta fin viendra Cette chose qui me rongeait semblait s'accroître de jour en jour
Jusqu'au point de ne plus avoir possession de mon amour
Faire du profit avec le malheur d'autrui
Sans se soucier des conséquences de mes ignominies -
Ceci ne me semblait pas très traumatisant,
Mais l'argent, l'argent m'envoûtait de jugement en jugement
Détruit, pourrie - ma vie était pourrie.
Peu importe, tant que j'avais le profit Toi qui croyais tant à la bonté de ton coeur,
Dans les abîmes du mal tu as sombré corps et âme
Toute ta vie n'était qu'un leurre,
Personne ne peut rien pour celui qui se damne
L'argent était devenu mon seul but,
Ma seule raison de vivre, comme une gourmandise,
Je m'en délectais avec délice
Ce désir immodéré d'accumuler -
L'avarice du bon côté de la justice